27 août 2005
Soir d'Avril.
L'immensité d'un paysage assombrit,
Intensifit le blanchâtre de cette demi-lune d'Avril.
Le doux murmure du lac, mirroir flatté,
M'envois rêveur sur des collines argentées.
Silence, grand lac, cessez donc vos prières;
Ecoutez plutôt donc la symphonie de l'air.
Non n'écoutez pas, mais entendez dans cette voûte,
Le roucoulement d'anges ailés, la voix de votre père.
Magique n'est-il pas? Instant volatile.
Pendant lequel depuis des heures je taquine des marguerites.
Mais enfin n'y a-t-il dans ce plaisir un point culminant?
Ame d'enfant j'irai chercher le sommet, dans ce ciel vide...tout doucement.
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